Résultats pour le semestre clôturé le 30 septembre 2012

29 novembre 2012

  • La chute du chiffre d'affaires semestriel de 13 % s'explique principalement par les faibles revenus des produits par rapport au volume élevé de l'année passée
  • Le REBIT semestriel tombe à minus 15 m €, étant donné la non-cash dépréciation du goodwill des filiales internationales, les frais uniques de restructuration de la gestion et les moins bonnes performances opérationnelles
  • Notre situation nette de trésorerie positive reflète notre structure financière solide
  • Retour à la normale pour le second semestre de l'exercice

Marc De Keersmaecker, Directeur Général de RealDolmen:

« Les six premiers mois de 2012 ont été un semestre de transition, qui a vu la combinaison de divers éléments négatifs. Nos Services belges ont continué à bénéficier d'une saine croissance du chiffre d'affaires, mais ont enregistré un taux de productivité moindre. Nos opérations internationales ont pâti d'un ralentissement de l'activité Services, qui a affecté le chiffre d'affaires et les marges. De même, les ventes des produits ont été inférieures à l'année passée, où nous avions affiché un volume exceptionnel. Cette diminution s'est traduite par une baisse de la rentabilité. Nous avons par ailleurs dû assumer plusieurs frais uniques importants: les indemnités de départ justifiées par la restructuration de la gestion et la dépréciation du goodwill de nos filiales internationales, entre autres.

Pour le second semestre de l'exercice, nous prévoyons un chiffre d'affaires supérieur et des marges plus proches de celles enregistrées à la même période l'an passé, voire meilleures. Bien sûr, la prudence reste de mise dans cette conjoncture économique volatile. Selon la visibilité actuelle, nous envisageons l'amélioration du chiffre d'affaires et de la productivité tant pour les opérations belges qu'internationales.

Notre offre intégrée se révélant fructueuse sur le marché, nous maintenons notre stratégie de prestataire unique. Cette année verra la mise en oeuvre de différentes mesures pour relever encore notre niveau d'excellence en exécution et en efficacité. Ces mesures comprennent un changement de l'organisation de l'entreprise, afin que sa structure soit davantage alignée à notre offre de source unique. Nous en tirerons des bénéfices à court terme, mais devrions également profiter d'une vaste amélioration des marges à l'avenir. Je suis persuadé que l'entreprise est sur la bonne voie pour le moyen et le long terme, même si les résultats de l'exercice subiront quelque peu la pression des chiffres de ce premier semestre. »

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